AUNCUN DIEU NE POURRA ME PARDONNER

(Stomy Bugsy)

 

Je sais que j’t’en ai fait voir de toutes les couleurs

Mais tu connais ma vie, ma miss, à 700 à l’heure

C’est plus la peine de m’attendre

J’te mérite pas ma cherie

Et ça tu peux pas le comprendre

J’suis qu’un jeune branleur

Qui rêve de bulle dans son verre

J’suis qu’un jeune rêveur

Qui prend sa vie au poker

Des fois, j’appelle ton répondeur pour entendre juste ta voix

Et quand j’l’entends comme un gosse

J’suis tout fou de joie

T’es un bijou et j’suis ton pire amour

Trésor, j’t’aime à perpét’

Comme un taulard qui vient d’ti-sor

Mais j’vais plus t’faire souffrir

Oublie nos souvenirs

J’aime trop les filles, la vie, la folie, ma chérie

Sauve-toi, oublie-moi, envole-toi

Comme une colombe qui esquive les bombes qui plombent

Je sais que j’le regretterai,

Dans une soirée chirée

Mais c’est fini

J’veux plus jamais t’voir pleurer

 

REFRAIN

Quand on a plus dans les mains c’qu’on aime

  Quand on a plus dans les mains c’qu’on aime

On en ressent l’envie, quel problème !

  On en ressent l’envie, quel problème !

C’est quand on a plus dans les mains c’qu’on aime

Qu’on en ressent l’envie, quel problème !

Aucun Dieu ne pourra me pardonner !

D’avoir laissé ton adorée

 

J’te l’jure sur c’que j’ai de plus cher au monde

Y’a pas un jour, pas une nuit

Où mon coeur ne bat pas pour toi

J’serai toujours ton Ange gardien

T’es ma sainte, en toi, j’ai la foi

Malheur à celui qui touche !

J’ferais parler les cartouches

J’suis ton gangster d’amour

Ca rime avec toujours, toujours...

Quand on est plus ensemble

Dis-toi qu’la terre tremble, le ciel pleure

La mer s’énerve, et nos âmes amoureuses

s’élèvent et fait frapper l’éclair tel un glaive, sèche tes larmes

Notre drame fait couler la lave

Embrasse-moi une dernière fois

Et le monde est à toi

Tu seras toujours à l’intèrieur de mon coeur

Et tu le sais, bébé! Tu connais ma force

Et mes faiblesse pour l’éternité!

Trouve le bonheur ailleurs ma Julietta!

Taureau Mysto est au paradis des célibats

 

REFRAIN

 

Ca fait maintenant des mois et mois

Que mon coeur et moi

Nous sommes en émoi

Orphelin d’l’amour, félin d’la cour

Je coule dans l’alcool

Démarre au quart de tour

Marque des jaloux enculés qui kiffent m’insulter

Au moins quand t’étais là

J’pouvais m’calmer

Vol au-dessus d’un nid d’coucou

J’pète les plombs j’deviens fou

Mon son sent le sang. Où es-tu?

J’regrette bon sang

Ma vie est telle un roman

J’connais d’jà la fin

Une lame, une batte ou un feu

Et l’hémoglobine m’embrasse au bitume en signe d’adieu

L’oeil accroché à ma chaîne, c’est fermé!

Trop d’haine d’enfoirés ont germé

Dans mon mal, j’pense à ma mère, mon père, mon bambino

Ma famille, mes amis et bien sûr à toi, ma chérie

J’m’accroche à la vie, mais...

Quand on a plus dans les mains c’qu’on aime

J’m’accroche à la vie, à toi, mais c’est trop tard

On en ressent l’envie, quel problème!

J’en ressens l’envie, mais... trop tard

Quand on a plus dans les mains c’qu’on aime

Et je sais que de t’avoir laissée...

On en ressent l’envie, quel problème!

Aucun Dieu ne pourra m’pardonner

 

2 fois.

C’est quand on a plus dans les mains c’qu’on aime

Qu’on en ressent le besoin et l’envie, quel problème!

Aucun Dieu ne pourra m’pardonner!

D’avoir laissé ton adorée!

Quand on a plus dans les mains c’qu’on aime

Quand on a plus dans les mains c’qu’on aime

On en ressent l’envie, quel problème!

On en ressent l’envie, quel problème!

Mais....

Quand on a plus dans les mains c’qu’on aime

 

Ouaih, c’est comme ça, c’est naze

Tu l’sais. Hein, je sais qu’c’est naze

Mais tu sais faut pas qu’tu t’prennes la tête, ma chérie

J’veux plus qu’tu t’prennes la tête

J’veux plus jamais t’voir pleurer

J’aime ton sourire

J’aime te voir t’éclater

Ma chérie on doit s’quitter, je sais

En tous cas, rassure-toi

Je sais c’que j’perds!

Mais j’sais pas c’que j’vais trouver

En tous cas j’voulais dire

Que j’te mérite pas, et j’voulais dire que

t’était la fille la plus belle intérieurement, extérieurement

que j’connaisse

C’est vrai, c’est quand on a plus dans les mains,

C’qu’on aime, qu’on en ressent l’besoin et l’envie,

quel problème

Qu’ça soit toi ou la vie

On est là, on la calcule pas

Mais quand on va pour canner

C’est là qu’on la veut

Et qu’on s’accroche

On s’accroche mais...

J’suis trop jeune pour mourrir!

Et toi aussi ! ça s’trouve, on s’reverra plus tard

Quand on sera vieux

Et j’te verrais avec tous tes petits bambinos

Et j’te dirais:

“Tu vois ça change rien, on est toujours là et...”

Vas-y... et j’voulais juste te dire encore une chose...

Laisse tomber... Te quiero!

Eun te gusta d’bô!